Je suis né à Besançon mais très vite, ma famille a "migré" vers Paris, où j'ai effectué ma scolarité à l'Ecole Alsacienne. Je suis enfant unique et j'ai de bons rapports avec mes parents, bien que je garde tout ce qui est "famille" bien à l'écart des spotlights. J'étais un élève pas trop mauvais, mais pas le plus assidu. J'étais plutôt le comique. Mon enfance a essentiellement été composée de la batterie, un instrument que j'adore, très libérateur pour moi. J'en fais depuis que j'ai cinq ans et même si le solfège peut être barbant, je n'ai jamais laissé tomber. Certains disent même que je suis un virtuose, mais bon...
L'adolescence a vraiment été un tournant pour moi. En 2010, j'ai intégré une compagnie théâtrale ne comptant que des enfants : Les sales gosses. C'est là, d'ailleurs, que j'y ai fait une rencontre déterminante pour ma carrière, avec Olivier Solivérès. C'est un auteur et metteur en scène qui m'a permis de jouer, quelques années plus tard, dans l'une de ses créations : "Au Pays du Père Nöel", ce pendant deux ans.
Niveau famille, mes parents m'ont toujours soutenu dans mes projets. Ils ont vite compris que j'aimais beaucoup le théâtre et la musique, que je suis un artiste. Ils m'ont encouragé. Comme beaucoup, j'ai eu des relations amoureuses, mais surtout une au lycée, très importante pour moi. Mon ex m'a largué du jour au lendemain et ça m'a pas mal brisé. Je pense que c'est à ce moment-là que je me suis vraiment lancé dans la comédie. Cela m'a permis de sortir un peu toutes ces émotions, parce que je ne suis pas le genre de mec à exprimer mon mal-être - ou alors je le cache derrière beaucoup d'humour. D'ailleurs, au lycée, j'ai toujours été considéré comme le clown de la classe, le pote marrant.
À 18 ans, j'ai intégré le conservatoire d'art dramatique du 19e arrondissement de Paris, afin de perfectionner ma musique. J'ai pu ainsi accompagner des artistes tels que Joyce Jonathan ou Nicoletta pendant leurs concerts. J'ai appris à jouer du piano un peu avant cela et me suis perfectionné pendant cette période.
J'ai commencé mon premier seul en scène en 2017, avec la pièce de Cédric Chapuis : "Une vie sur mesure". J'y interprète un jeune autiste virtuose de la batterie. Je ne devais faire que quelques représentations, mais il y a eu un tel engouement que cela a duré jusqu'en 2019 ! C'est ce qui m'a réellement fait aimer la comédie. Le spectacle vivant, ce contact avec le public... c'est ce pour quoi je vis. Ce seul en scène m'a fait connaître du public, c'est vrai, mais pas forcément des plus jeunes. C'est avec mon rôle de Lucas Lallemant dans "Skam France" que je me suis réellement fait connaître comme comédien, en 2019. J'ai été le personnage principal de la saison 3, ce qui m'a propulsé au rang de célébrité, bien que je n'apprécie pas ce mot. J'ai continué à tourner jusqu'à la saison 6, produisant un nouveau seul en scène en parallèle : "Les 1001 vies des urgences". J'ai eu l'occasion de la présenter de nombreuses fois sur scène avant de partir pour New-York, afin de réaliser le rêve américain. Là-bas, j'ai eu l'opportunité de passer quelques castings et d'avoir un rôle très secondaire dans "Annette", fin 2019. J'envisage surtout de remettre les pieds sur les planches.
En terme de vie privée, j'ai eu quelques petites amies (toutes blondes, qu'est-ce que vous voulez...) mais aucune relation qui n'ait duré plus d'un an et demi. Lorsque j'ai déménagé à New-York, j'ai pris la décision de conserver mon couple avec ma petite-amie de l'époque, Manon, à laquelle j'étais malgré tout attaché. Mais l'arrivée d'une autre personne dans ma vie a tout chamboulé.
J'ai rencontré Maxence sur le tournage de Skam France et nous avons tout de suite bien accroché - et ce malgré sa petite vanne sur la mort de mon grand-père. Si bien accroché même que notre jeu a commencé à devenir bien réel et nos scènes ensemble, elles, particulièrement perturbantes. Peu après mon arrivée à NYC, Maxence m'a rejoint et quelques boissons plus tard, nous commettions tous les deux la faute de l'adultère. La réalité du lendemain fut difficile à vivre et fatalement, les non-dits sur nos sentiments respectifs nous ont séparés quelques temps. Mais il fallait se rendre à l'évidence : nous nous aimions. Ce fut une belle croisière avec des amis qui nous permis d'ouvrir les yeux sur ce que nous ressentions vraiment l'un pour l'autre et nous nous sommes mis en couple - chacun étant, à ce moment-là, célibataire pour de bon. Et notre relation était si forte que nous avons rapidement emménagé ensemble dans le loft de Maxence, à Brooklyn, et ce pour plusieurs mois. Mais à l'aube de la nouvelle année, alors que 2020 sonnait ses premières cloches, nous avons reproduit un schéma décidément bien trop dangereux pour nous. En road-trip de LA à NYC, nous nous sommes arrêtés à Vegas et, quelques verres plus tard, nous nous sommes retrouvés mariés. Le choc fut rude une nouvelle fois au réveil, nous mettant face à notre avenir, nos sentiments et notre bêtise. Là encore, l'acceptation fut difficile mais après plusieurs jours de disputes, conciliations et confusion, nous avons pris la décision d'embrasser notre situation et de voir ce que cela pouvait donner.
Tout ce serait très bien passé et nous serions encore à New-York à cette heure-ci si le pire n'était pas arrivé. Maxence fut la cible d'un fan détraqué qui le suivait constamment, peu importe où il allait, allant jusqu'à l'attendre en bas de notre immeuble, déposant des dizaines de lettres par jour devant notre porte. L'obsession a tourné au cauchemar lorsque ces lettres ont commencé à devenir des menaces de mort à mon encontre, poussant Maxence à rester enfermé dans le loft avec la crainte de croiser son harceleur. Après une ordonnance restrictive et l'intervention des forces de l'ordre, il nous est paru évident qu'il nous fallait tout recommencer à zéro, dans un coin un peu plus tranquille afin de nous retrouver, en tant que jeunes mariés. Loin de ce détraqueur fou à lier. C'est la raison pour laquelle nous avons choisi Astoria. Ville prospère mais pas aussi famous que Los Angeles - qui regroupe aussi son lot de cinglés - elle apporte le bonheur de son port, sa proximité avec Vancouver et Los Angeles, pour nos travails respectifs. Et surtout, là-bas, nous pourrons faire table rase des derniers mauvais événements. C'est l'opportunité, pour nous, d'avoir un nouveau départ autant dans notre vie privée que dans notre vie professionnelle. Une nouvelle vie à Astoria.

Axel, c'est le petit garçon de la France. Le frenchie souriant, toujours prêt à rire et qui a la vanne facile. Le monde entier se le représente ainsi et ce n'est pas si éloigné de la vérité. Axel a beaucoup d'humour et s'en sert autant pour soulager les autres que pour cacher ses propres sentiments. S'il est contrarié, mal à l'aise ou à court de mot, il fera une blague bien trouvée qui lui permettra d'esquiver la situation. Derrière cette façade de rire se cache néanmoins un être réservé, surtout lorsqu'il s'agit de sa vie privée. Axel ne parle pas de ses doutes, de ses peurs ou de ses partenaires de vie. S'il les évoque, ce n'est que brièvement car il a vite compris que c'est là la seule façon de se protéger du reste du monde. Il a d'ailleurs plusieurs techniques pour changer de conversation si d'aventure, on s'attache à trop s'immiscer dans ses pensées. Et parmi ces techniques, il y a la parole. Axel est un grand bavard. Bien sûr, il lui arrive de faire des choses en silence, mais s'il est en compagnie d'une personne qu'il apprécie, il ne va pas s'arrêter de parler. Ce qui peut être intéressant avec lui, c'est qu'il est ouvert à toute discussion et peut aborder autant de sujet que possible. Si - comme un peu tout le monde - il évite la politique, il a toujours quelque chose à dire, qu'on soit d'accord ou non. Et que ce soit dans ses propos ou dans ses actes, il est une personne sincère. Il a son petit jardin secret, ce qui ne l'empêche pas d'être foncièrement honnête, surtout avec son entourage. Si quelque chose est moche ou raté, il ne se gênera pas pour le dire, surtout si on lui demande son avis. Mais cela fonctionne aussi dans sa vie privée, ce qui peut lui valoir quelques disputes bien houleuses. Il est tellement sincère qu'il s'emporte parfois un peu trop dans le tourbillon de ses sentiments et en perd la tête. Fort heureusement, il est plus attentionné que buté et sait reconnaître ses torts. C'est un calineur qui a besoin de recevoir autant d'affection qu'il en donne. Il prend toujours des nouvelles des autres - peu importe la fréquence, il le fera à un moment donné - et s'attache à leur faire plaisir. Il n'aime ni contrarier, ni mettre dans l'embarras et pourtant, c'est le roi des mauvais plans. Il a toujours des idées un peu tordues et embarque les autres dans ses folies. Mais c'est pour cela qu'on l'aime, le petit Axel. Et on pourrait difficilement croire, en le voyant ainsi, qu'il est aussi perfectionniste dans son travail. Bien qu'il soit le Roi du Retard, il attache beaucoup d'importance à son travail et ne montre sur scène que si tout est parfait, à son sens. Ce qui explique, de ce fait, les retards occasionnés. On peut en dire autant de sa vie privée. Il veut tellement que tout soit parfait qu'il lui arrive parfois de créer l'inverse : un vrai foutoir. Mais l'intention est bonne, c'est tout ce qu'il faut retenir.
Autre son caractère, s'il y a bien une chose mémorable chez Axel, ce sont ses yeux. Ce regard bleu océan en fait craquer plus d'un(e), même s'il n'en a pas toujours conscience. Sa peau est vierge de tatouage et prend bien le bronzage - un avantage en été. Il est certes petit - son plus grand regret et complexe - mais compense par ses cheveux toujours hirsutes qui lui donnent quelques bons centimètres supplémentaires. Et il conforme bien cet adage : tout ce qui est petit est mignon. Il ressemble à un chou à la crème et on ne distingue aucune violence dans son aura. Sa facilité à être tactile avec tout le monde lui permet d'avoir bonne réputation dans la presse people. Les seules fois où il a fait connaître son ton cinglant, c'était via les réseaux sociaux.

✤ pseudo : Maxel ✤ âge : 2? ans. ✤ votre présence sur le forum : everyday jusqu'à mai, puis je verrais selon mon déménagement. ✤ pourquoi ce personnage : Parce que je le jouais déjà sur un autre forum qui a fermé, que j'y tiens absolument, que je l'ai fait évoluer et que je veux continuer à le faire grandir. Il a encore du potentiel, le petit Axel ! (Oui, ça rime) ✤ votre avis sur le forum : Je l'ai déjà dit à sa fonda, mais il me plaît beaucoup. Simple, ce qu'il faut ✤ comment avez vous connu le forum : Grace à sa fondatrice ✤ code du règlement : Spoiler:

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