| Sujet: in the mood (c. delevingne) Dim 21 Juil 2019 - 8:32 | |
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Cara Lou Delevingne
Ϟ âge : Vingt-six ans. Ϟ date et lieu de naissance : 12 août 1992. Londres, Angleterre, Royaume-Uni. Ϟ statut : Aucune exclusivité en vue. Ϟ métier : Actrice et mannequin. Ϟ groupe : I don't care, I love it.
Your Story
Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Cara ne s’est jamais prise au sérieux. Elle a toujours été ce genre de personnes à toujours faire des blagues, à jouer d’auto-dérision et à prendre la vie de manière légère. Haute comme trois pommes, elle suivait ses parents dans leur métier. Son père, Charles, était un grand promoteur immobilier, a toujours été un riche héritier. Il était le fils d’un ancien chef de l’English Heritage et ancien directeur général du Daily Express et du Evening Standard. Toute cette richesse familiale a pu notamment être un outil bien utile pour les ascensions professionnelles. Sa mère, Pandora, était une célèbre personal shopper pour de grands magazines, comme Selfridges et British Vogue. Autant dire que le milieu de la mode a toujours pu bercer sa plus tendre enfance, où accompagner maman à des défilés ainsi qu’à des conférences liées à la mode était une véritable plaine de jeux pour la petite Cara.
La notoriété familiale, doublée de cette richesse pouvant attirer les jaloux, amena la jolie Cara à rejoindre la prestigieuse école de Bedales School. Elle put s’épanouir artistiquement, que cela soit au niveau de l’art que de la musique. En créant un duo musical avec une camarade de classe, elle put être repérée par la directrice de l’agence Storm. Un véritable coup de canon pour un point de départ professionnel. Cela lui permit de signer un contrat avec cette agence, pour signer deux ans plus tard un contrat avec l’agence DNA Model. La carrière de Cara était lancée. Elle put connaitre un essor fondamental par la suite avec de grands événements : égérie de Burberry à dix-huit ans, shootings pour des magazines comme V Magazine, Jaouse, Harper’s BAzaar, I-D, Love, Numéro, Interview et, surtout, pour le célèbre magazine Vogue.
Toute cette ascension professionnelle lui permit en 2012 d’être élue « Mannequin de l’année » par le Birtish Fashion Coucil. British Vogue, Chanel, Dolce & Gabbana, Stella McCartney, Fendi et Donna Karan étaient également des marques pour qui elle aura travaillé et posé. Remarquée par tous, sans pour autant faire l’unanimité dans les photographes et journalistes, la réputation de Cara grandissait à une vitesse fulgurante pour le monde du mannequinat. Toutes ces collaborations permirent d’ouvrir les portes de Victoria’s Secret en 2012 et 2013. Ce fut notamment à ce moment-là que Cara ouvrit son carnet de contacts professionnels et fit la connaissance de nombreux mannequins, tels que Naomi Campbell ou encore Kendall Jenner. Elle put également sortir avec Michelle Rodriguez, de quatorze ans son ainée, en 2014. La rupture fut loin d’être une étape marquante puisqu’elle enchaina une autre relation avec St. Vincent, musicienne américaine.
Même si Cara a pu faire une apparition dans quelques films en 2012, comme Anna Karénine ou L’affaire Jessica Fuller, la carrière professionnelle de Cara en tant qu’actrice débuta en 2015 officiellement, au point de la faire passer au premier plan par rapport à celle de mannequin. Des grands titres, comme La face cachée de Margot, Kids in Love ou encore Suicide Squad. Sur le tournage de ce dernier, elle put notamment rencontrer la belle Margot Robbie avec qui une affinité toute particulière se créa au fur à mesure des mois. Si la bisexuelle de Cara n’était pas un frein pour sa carrière professionnelle, il en était sans doute loin de Margot. C’était du moins ce que Cara pensait. Alors, toujours à frôler la limite entre l’amour et l’amitié, les deux jeunes femmes gardèrent une relation améliorée et particulière, juste entre elles, à l’abri des paparazzis.
D’autres films s’ajoutèrent à la filmographie de la jolie blonde, comme Valérian et la Cité des mille planètes, aux côtés de Dane DeHann, mais aussi Tulip Fever aux côtés d’Alicia Vikander ou encore London Fields avec Amber Heard. Une panoplies d’acteurs et actrices venant étouffer non seulement les contacts professionnels de Cara, mais aussi sa vie sociable débordante, elle qui aime toujours être entourée.
Rien ne s’arrête jamais, en tout cas pas pour elle. En 2017, elle lance son premier libre intitulé Mirror, Mirror et chercha à toucher un maximum les réseaux sociaux pour montrer qui elle est vraiment. Elle cherche à casser cette image de mannequin, de visage de poupée et montrer qu’un véritable garçon manqué peut parfois ressurgir d’elle. Et si cela donne une impression de se soucier de son apparence, c’est loin d’être le cas. Complètement libre dans ses faits et gestes, elle enchainera les relations, notamment en mai 2017 avec Paris Jackson, fille du célèbre Michael Jackson. Rien que bien sérieux bien entendu, puisque les relations sérieuses, Cara ne les connaissait pas. Du moins, c’était avant de connaitre Ashley Benson, avec qui elle eut une relation, de mai 2018 jusqu’à récemment. Jalousie au rendez-vous, disputes houleuses et rupture douloureuse. De quoi bien faire disjoncter la jeune femme, qui cherche aujourd’hui à tout faire pour oublier un tant soit peu la tempête blonde laissée dans sa vie.
Your Identity
Cara est une grande adepte du je-m’en-foutisme. Elle ne cherchera jamais à savoir si le regard des autres va avoir des conséquences titanesques, elle se fiche des qu’en-dira-t-on. – Particulièrement sociable, elle aime être entourée. Cela cache sans doute une certaine peur de la solitude, mais elle ne le vous dira pas. – Véritable bordélique, cela pourrait faire peur à son entourage. Pour autant, si son appartement reste particulièrement propre malgré cela, elle parvient en plus à s’y retrouver dans son propre bordel. – Cara est impulsive. Réfléchir avant d’agir, elle est loin de connaitre. Véritable tête brûlée, elle préférera foncer dans le tas en premier lieu. – Depuis toute petite, elle a toujours été généreuse et loyale envers les siens. Cela explique sans doute l’une des raisons qui font qu’elle a toujours ses amis d’enfance. – Aussi étonnant que cela puisse paraitre, Cara reste humble et modeste face au grand succès professionnel. Après tout, cela ne doit en rien empiéter sur sa vie privée. – Le plus gros défaut de Cara est son côté jaloux qui pourrait la faire devenir paranoïaque par moments. Cette jalousie est maladive, mais jamais elle ne le dira. – Sans grande surprise, Cara est également têtue, malicieuse et narquoise. C’est du moins la première impression qu’elle donne, ce qui pourrait lui donner un côté intimidant.
Behind The Computer
| ✤ pseudo : blondoire. ✤ âge : vingt-cinq ans. ✤ votre présence sur le forum : 5/7j. ✤ pourquoi ce personnage : La belle arrogante qu'est Cara me tentait trop. En plus, elle est scénarisée par la jolie @Margot Robbie, que demander de plus ? ✤ votre avis sur le forum : Toujours au top, avec une équipe admin aux petits soins pour les demandes multiples de leurs joueurs. ✤ comment avez vous connu le forum : Via un root-top. ✤ code du règlement : - Spoiler:
I want to be famous.
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Exemple De RP
- Spoiler:
« Tu ne comptes quand même pas y aller habillée ainsi ? » retentit distinctement la voix d’Emilia. Un coup d’œil critique se dirigea vers la robe de Chiara qui laissait apparaitre ses genoux. Il était clair que ce n’était pas dans les habitudes d’Emilia de laisser sa petite sœur passer devant elle sans qu’elle fasse le moindre commentaire sur quoi que cela pouvait être. Emilia avait toujours eu l’art de se soucier de la prestance de sa sœur et pensait bien faire. A la réflexion de son ainée, Chiara ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel. « Un commentaire de plus et je troque mes chaussures contre mes sneakers, pour le plus grand plaisir de tes yeux. » Un air moqueur, un échange de regards plissés et Emilia secoua la tête, abandonnant l’affaire. Après tout, que pouvait-elle y faire si Chiara avait décidé de venir en robe courte colorée au lieu d’une longue robe argentée comme elle-même avait décidé de porter ? Elle reprit de plus belle, tout en attrapant sa pochette assortie à sa robe. « Quoi qu’il en soit, nous allons démarrer. Les parents sont déjà partis et Adriano m’attend sûrement déjà. » A l’entende du nom de son beau-frère, Chiara dut faire tous les efforts du monde pour ne pas montrer la moindre réaction sur son visage. Pourtant, elle manqua à la fois de faire une grimace, apeurée par la situation qui l’attendait, à la fois un sourire immense à l’idée de pouvoir poser son regard sur ce beau-frère à l’élégance sans égal. Loin de passer à côté de ce détail important, elle ne savait pas comment elle allait pouvoir gérer la situation à se retrouver dans le même périmètre que lui, après un mois sans l’avoir vu. Et cette idée l’envahit d’un sentiment d’angoisse, sentiment qu’elle ne connaissait que rarement. Sans un mot, elle hocha la tête et suivit sa sœur. Les festivités ne faisaient que commencer…
Il fallait représenter les Moretti, il fallait bien se tenir. Il fallait. Et c’était ce qu’elle s’était fixée en tête. A l’évidence, Adriano avait trop picolé pour se souvenir qu’ils avaient partagé bien des sujets et, surtout, un secret. Ou alors s’en tenait-il simplement à ne pas venir aborder à nouveau le sujet. Après tout, ils avaient décidé de ne pas en parler. Du coin de l’œil, elle pouvait l’observer aux côtés d’Emilia. Son allure était particulièrement séduisante, le rôle du fiancé lui collait bien à la peau. Il était beau et dégageait ce je-ne-sais-quoi qui donnait à la jeune femme l’impression que le sol se dérobait sous ses pieds à chacun de ses mouvements. Visiblement, rien de tout ce qui s’était passé il y a un mois de cela ne semblait perturber le quotidien du jeune homme. N’était-ce pas ce qu’elle avait souhaité, au fond ? Que rien ne se sache ? Pourtant, un pincement au cœur se fit ressentir et elle perdit bien vite le fil de la discussion avec le gérant du plus grand commerce de parmesan d’Italie. « N’est-ce pas, ma chère Chiara ? » Prononcer son prénom avec un accent fortement nordique la ramena à elle. De quoi parlait-il au juste ? « Vous avez entièrement raison. Et quel honneur de savoir que vos produits se trouvent à notre buffet ce jour. » L’air pompeux, la courtoisie, toutes ces choses qui ne lui ressemblaient pas. Il fallait donner une bonne impression et, dans ces moments-là, elle se demandait toujours comment Emilia réagirait. C’était comme si elle pouvait se moquer d’elle en l’imitant en toute innocence. La seconde suivante, le regard de Chiara se tourna comme un aimant vers Adriano. Mais il avait subitement disparu, volatilisé, comme un éclair qui prend aux yeux et qui s’évanouit l’instant d’après. La jeune femme le chercha du regard, ignorant complètement son interlocuteur. Après tout, la fabrication du parmigiano reggiano, qui ne la connaissait pas ? Ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle n’envoie promener cet homme tant elle n’en avait rien à faire. Tout comme cette journée qui s’annonçait interminable. Mais Adriano avait déserté son champ d’horizon. Arrête de le chercher, Chiara, tu es ridicule, pensa-t-elle. « Et c’est ainsi que nous avons pu étendre notre marché en Croatie… » termina l’homme dans un discours dont Chiara avait complètement décroché. Son petit museau se tourna vers son interlocuteur, pendant un instant hébétée. Au loin, son père l’observait avec insistance, comme pour la rappeler à l’ordre. Visiblement, l’homme ne s’était même pas rendu compte qu’il parlait tout seul et elle put sauter sur l’occasion pour l’attraper par le bras et l’emmener avec elle. « Voilà une histoire bien charmante. Vous devez être si fier de vous. Et si vous me montriez vos réalisations au buffet des fromages ? » demanda-t-elle innocemment, avec un immense sourire.
La séquence suivante, accrochée au bras du bon parti devant l’étalage de fromages, Chiara aurait pu tout oublier face à de la nourriture. Gourmande, elle aurait pu picorer dans chacune des présentations et combler un certain manque par la bouffe, en oubliant les bonnes manières. Mais ce manque en question se manifesta aussitôt lorsqu’elle sentit la main d’Adriano frôler la sienne, à mi-chemin vers l’un des fromages savoyards. Sensation électrique, partant du bout des doigts pour ne faire qu’un tour de son corps, elle se sentit foudroyée par la présence du jeune homme. Son regard était ancré dans le sien et le temps semblait s’arrêter. Mille et unes questions se bousculaient dans sa tête en sentant ce regard, à l’habitude si chaleureux, glacialement posé sur elle. Elle voulut lui rendre la pareille, le fusiller du regard for no reason, lever le menton et partir comme une diva comme Emilia l’aurait fait. Car, après tout, n’était-ce pas ce qui plaisait tant chez le jeune homme ? A la place, compte tenu du fait que son interlocuteur était toujours collé à ses basques avec ses histoires de parmesan qu’elle lui aurait bien fait ravaler, elle afficha un rictus mi-narquois mi-innocent à l’adresse du jeune homme. Et elle brisa le silence. « Bien le bonjour, Adriano. » commença-t-elle sur un ton mélodieux qui aurait pu tromper tout le monde. Tout le monde, sauf lui. « Quelle belle organisation ! Je n’entends que de beaux échos sur cette fête qui s’annonce mémorable, les invités semblent ravis et ne me disent que du bien d’Emilia et de toi. » Emilia, leur union, comment oublier ? C'était le sujet sur toutes les lèvres. Les mots s’arrachaient de sa bouche avec supplice, tandis que l’homme à côté d’elle hochait la tête frénétiquement pour approuver ses dires, complètement ébahi par la présence du grand Adriano Rocca. « Exactement. » Et vu qu’il ne semblait pas démordre, au taquet pour entamer une conversation avec, Chiara se sentit de trop. Le gérant du plus grand commerce de parmesan était en train de recommencer le même discours dont elle avait eu droit bien des minutes plus tôt. A quoi pensait-elle, au juste ? Comme si Adriano avait envie de discuter avec elle de l’organisation du traiteur ou de l’installation des mange-debout. Alors, après quelques instants à bêtement hocher la tête aux explications de l’homme bien trop bavard à son goût, plantée entre les deux hommes devant le buffet, elle reprit dans un air courtois pour cacher son malaise. « Bien, je vous laisse. » Et elle tourna le dos à Adriano dans l’espoir de disparaitre en se fondant dans la masse. La gêne.
Dernière édition par Cara Delevingne le Mer 24 Juil 2019 - 10:13, édité 1 fois |
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