| Sujet: somebody mixed my medecine - emily ratajkowski Jeu 22 Fév 2018 - 12:22 | |
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emily ratajkowski
Ϟ âge : 26 ans Ϟ date et lieu de naissance : 7 juin 1991 à Londres Ϟ statut : célibataire Ϟ métier : mannequin Ϟ groupe : true color
Your Story
Etre le vilain petit canard, toujours sentir cette différence et s’en cacher pour être mieux accepter de tous. Cela a été la ligne directrice d’Emily durant de nombreuses années. Bien qu’elle n’ait ni frère, ni sœur, elle n’a jamais su trouver sa place dans sa propre famille. Elle ne sentait ni comprise, ni comme eux. Ses parents étaient des personnes très fermés d’esprit, qui ne voyait le monde qu’à travers un trou de serrure, et ceux depuis toujours. Dès son plus jeune âge, elle fût inscrite dans une école chrétienne au Royaume-Uni à Londres, ayant toujours vécu là-bas. Toutes les personnes qui y étaient, ne lui ressemblait en rien et, elle cachait cette différence au fond d’elle. Elle s’était demandé à plusieurs reprises, si quelqu’un ne pensait pas la même chose qu’elle. Ses parents tentaient de la formater dans un modèle qui lui donnait une image impeccable. Il fallait toujours qu’elle en soit en robe, une queue de cheval et un air innocent figé en permanence sur son visage. Elle avait appris à faire semblant, depuis qu’elle savait comprendre ce qui l’entourait. Elle était réservée, timide, peu sûre d’elle et affreusement peureuse. Sa mère avait formé une barrière invisible pour la rendre hermétique à tout danger. Elle pratiquait la danse, pour compléter sa parfaite panoplie de la petite fille parfaite. Emily sentait bien qu’en étant cette personne elle s’intégrait beaucoup plus vis-à-vis des autres, qu’ils la considéraient tous comme une perle rare. Elle se conforta alors d’en l’idée que c’était mieux d’être ainsi. Jusqu’à ses 14 ans, ce rôle lui colla à la peau, elle le jouait à merveille et se contentait d’être quelqu’un qui ne lui ressemble pas. Seulement, elle savait bien que ce qui l’entourage n’était que mensonge et hypocrisie. A chaque fois qu’il fallait aborder un avis différent, un sujet qui fâche, son père venait la rappeler à l’ordre… Emily était assise à table avec ses parents, elle n’avait pas faim ce soir. Une douleur affreuse lui brûlait le ventre. Son père agacé par la situation lui demanda « Emily, pourquoi tu ne manges pas ? », ce à quoi Emily répondit « J’ai mal au ventre, je n’ai pas faim. ». Son père se crispa, la fixa durant de longue secondes, « Et alors ? Tu as un petit mal au ventre et tu ne manges plus ? Des millions de femmes sont dans ton cas et on ne les entend pas se plaindre en permanence. » Emily ravala sa salive, puis mangea son assiette. Chez les Ratajkowski c’était ainsi, les femmes n’avaient pas le droit de se plaindre sous peine d’être humilié. C’était à chaque fois comme ça, quand la jeune fille faisait une remarque qui différait de la norme, son père venait lui rappeler les bonnes manières et le bon sens de la vie. A l’école ça n’était pas mieux, elle restait dans son coin, fermée aux autres. Pendant ses cours, lorsqu’elle osait lever la main pour donner son opinion sur le culte religieux chrétien, c’était toujours dans les rires qu’on accueillait ses paroles. A plusieurs reprises, elle se demandait si le monde entier voyait ce qui l’entourait munit d’œillères. Ce rejet de la part du monde qui l’entourait, la brisa, il arrivait que pendant plusieurs jours la voix d’Emily ne puisse émettre de son. Rien ne faisait de sa vie quelque chose d’exceptionnelle. Elle s’éteignait petit à petit. Un soir, seule dans sa chambre, fixant le mur de sa chambre, elle se demandait si toute sa misérable existence se résumerait à tout ça, qu’elle ne sortait jamais d’un monde aussi peu coloré que celui de ses parents. Un serrement à la gorge lui prit, la peine et le désarroi venait lui tenir compagnie, un soir de plus, elle décida d’ouvrir la fenêtre de sa chambre, et en regardant la nuit, les rues, la lumière de la lune venait éclairer quelques recoins, elle se disait que dehors, personne ne pourrait l’empêcher de faire ce qu’elle voulait. Seulement, elle n’avait jamais mis un pied dehors sans que sa mère ou son père vienne lui tenir la main. Deux choix s’offrait à elle, soit elle partait, soit elle restait ici et continuait à se plaindre. Ce soir-là, elle n’eut pas le cran de partir. Seulement, cette idée resta dans son crâne durant des semaines, elle y pensait chaque soir en ouvrant sa fenêtre, son œil brillait à chaque fois qu’elle regardait à l’extérieur. Ses entrailles se tordaient à chaque fois. Ce fut un repas de plus avec sa famille, une remontrance de plus et un dégoût qui la poussa à franchir cette fenêtre, à 16 ans. Elle avait à peine franchit cette foutue fenêtre, qu’elle sentait une émotion qui la réveilla de l’intérieur. L’adrénaline, l’excitation de l’inconnue, la rendait plus vivante que jamais. Elle était vêtue d’un jean noir simple et d’un tee-shirt avec des motifs aztèques. Une paire de converses et la voilà parti pour prendre le bus, direction le centre de Londres. Elle voulait découvrir le monde par ses propres yeux. Elle avait demandé son chemin à un couple charmant, une fois sur place. Elle se laissa émerveiller par l’ensemble. Jamais ses parents ne l’avaient emmenés voir de si belle choses. Elle marcha dans les rues de Londres, un sourire béat sur ses lèvres, ses yeux qui brillaient grâce aux lumières de la ville. L’entrée d’un club s’annonçait suite aux battements des basses qui tapaient dans la rue. Emily s’avançait, elle entendait une musique pleine de son de guitare. Tous les gens qui entraient dans ce club avaient un look complétement décalé, les vêtements déchirés et presque salis. Emily devait faire ce qu’elle savait faire de mieux, s’intégrer. Elle déchira son jean pour lui donner un look plus passable et secoué ses cheveux dans tous les sens. Elle s’approcha de l’entrée du club, elle n’avait aucune idée de comment y rentrer. Elle regarda un peu perdue autour d’elle, un groupe de personnes sentant sa détresse, virent l’aider. Elle leur expliqua qu’elle souhaitait rentrer mais n’avait aucune idée de comment faire. Ils se mirent à rire en cœur, puis l’invita à rentrer avec eux. Au début, elle pensait qu’ils se moquaient d’elle, en la ridiculisant, mais une fois à leur côté pour rentrer au club, elle sentait une légèreté dans l’air. Sa naïveté les avaient amusés, l’entrée entant gratuite pour les femmes, elle était si surprise de pouvoir rentrer ainsi. Une fois à l’intérieur, la musique frappait les tympans si forts, Emily grimaça mais au bout de quelques minutes, elle était au centre de la piste avec ses nouveaux amis pour une soirée. Emily ne s’était jamais senti aussi vivante depuis tout ce temps, elle n’était ni jugée, ni remise en question pour ses choix. Elle avait sur elle, à peine de quoi acheter une bière, ce qui lui donna l’occasion de goûter à l’alcool. Les verres qui suivirent furent offert par divers mecs présents, il lui en fallut à peine quelques-uns pour tomber bourrée. Elle se retrouva alors seule, à vomir dans les toilettes lorsque la fin de soirée s’annonça pour elle. Elle dût rentrer seule chez elle, ce qui fût plus compliqué que pour l’aller, tout était trouble et l’envie de dormir était beaucoup trop pesante. Heureusement pour elle, sa chambre était au rez-de-chaussée et elle avait eu la bonne idée de laisser la fenêtre ouverte. Elle rentra avec quelques égratignures, mais le cœur si empli de bonheur. Le lendemain fût une toute autre affaire… Les soirs suivants, elle était plus organisée, elle n’avait pas à déchiré ses vêtements sur place, ni même à demander son chemin. En dehors de son autre vie, elle passait son temps à penser à la vie de la nuit qu’elle menait. Elle mettait du maquillage, se payait plus de verre, et ses amis d’une soirée devenaient alors ses compagnons de fêtes. Elle se sentait si bien dans ce monde, les gens étaient ouverts d’esprits, non réfractaires à d’autres opinions, tout en conservant la leur. Emily n’en revenait pas qu’un monde tout entier était là, à quelques pas de chez elle. La peur que lui avait inculqués ses parents avaient d’elles quelqu’un de peureux, qui ne savait pas se débrouiller sans et qui l’avait conditionné à penser de telle ou telle manière. Cependant à force de sortir tous les soirs, elle croisait les mêmes gens et tissaient des liens avec eux. Ils n’étaient pas au courant de la double vie qu’elle menait et selon elle, ne devait pas le savoir de peur qu’il la prenne pour une folle. Un homme, bien particulier retint son attention, celui qu’elle croisait souvent, ils s’étaient échangés plusieurs regards, mais rien de bien concret jusque-là. Jusqu’à ce qu’ils s’entrechoquent en dansant, Emily comme par réflexe s’excusa. De là, commença un lien plus sérieux. Emily se laissa offrir un verre ou deux, mais conservait toujours cette part de mystère et ne voulait pas lui laisser apercevoir qu’au fond, il lui plaisait bien. Elle s’amusait à danser avec d’autres, à se faire offrir des verres par d’autres. Au bout de quelques mois, le jeu prit une toute autre tournure, Emily se retrouvait dans la position inverse, lui flirtait ouvertement avec un tas de filles. Elle faisait mine de rien, comme si cela ne la touchait pas. Au bout de plusieurs baisés échangés avec différentes filles, Emily se pointa devant lui, un verre de bière à la main. Elle lui demanda si la soirée se passait bien, l’œil malicieux. Par pur provocation, ou juste par jalousie, elle l’embrassa tout en levant clairement son majeur à la jeune femme qui l’accompagnait. Le baiser ne dura que quelques secondes mais tout de même assez pour qu’elle puisse l’apprécier, quand il fut finit, elle lui déversa son verre de bière sur sa tête. « Moi, je sais porter mes couilles. » puis elle s’en alla, un sourire scotché à ses lèvres. Elle se découvrait peu à peu une nouvelle personnalité, une force de caractère qu’elle n’en soupçonnait même pas. Cependant, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est qu’il vienne à son tour, lui rendra la pareille, sans verre de bière. Emily fût prise de court par un baiser, intense et puissant. Elle se laissa volontairement guidée dans les toilettes du club. Elle eut alors sa toute première expérience, elle s’était laissé guidée par le moment, n’avait pas réfléchit à ce qui pouvait ou non se produire. Elle était restée elle-même, du début à la fin, car toutes les bonnes choses ont une fin. Ses parents découvrent le pot aux roses, ses vêtements déchirés, son maquillage et l’odeur de cigarette les avaient menés jusqu’à une violente dispute, pour eux, leur fille était devenue une traînée, une moins que rien, qui passait son temps à se droguer. Emily pour la première fois depuis sa tendre enfance, leur répondit le plus sincèrement possible. Jamais plus elle ne changerait pour eux, jamais plus elle ne se laisserait guider par une bande d’allumée qui pensaient tout connaître de la vie juste en ayant lu un stupide bouquin. Elle s’en alla de chez elle, tandis que ses parents tentaient par tous les moyens de la garder près d’eux, elle s’en alla, toujours le majeur levée. Elle ne savait pas ce qu’elle avait devenir, ni même ce qu’elle allait bien pouvoir faire. Elle venait d’avoir à peine 18 ans, et rien n’avait jamais été aussi vrai dans sa vie. Elle dû vivre quelques temps chez des connaissances, pour pouvoir trouver une solution d’alternative. Plusieurs amis lui avaient parlés de boulots à mi-temps, mais elle voulait recommencer tout à zéro, mais également retrouver l’homme avec qui, elle avait tissé un lien bien particulier. Seulement, c’était comme retrouvé une aiguille dans une botte de foin. Elle retourna bien des fois dans différents clubs où ils s’étaient croisés, mais impossible de le revoir. Rien ne devait la retenir de vouloir faire sa vie, elle décida donc de partir aux Etats Unis, seule. Du jour au lendemain, elle décollait dans un avion, direction, Los Angeles. Rien ne serait facile une fois les pieds là-bas et pourtant, elle voulait relever le défi de partir, loin. Plus rien ne pouvait l’effrayer dès à présent, tout était si clair. Elle devait devenir la femme qu’elle souhaitait être sans que personne ne l’en empêche. Elle mit quelques jours avant de décrocher un poste de serveuse dans un fast food, mais pas de quoi assez pour lui trouver un logement, elle dormait donc dans la rue, en attendant de pouvoir trouver un logement, avec l’argent qu’elle gagnerait. Deux mois après, elle avait un tout petit appartement, mais au moins, elle avait un endroit à elle, que personne ne pourrait s’approprier, c’était sa vie. La vie était extrêmement cher à Los Angeles, Emily avait énormément de mal à faire des fins de mois correct. Elle se privait déjà de manger, de fumer, mais rien n’y faisait, tout était trop cher. Elle décida donc de déménager à Astoria, là-bas, un tas de célébrité y vivaient, c’était moins cher qu’à Los Angeles et au moins, elle pourrait manger décemment. Elle commença petit, avec un studio, puis un boulot décrocher en tant que femme de ménage. Elle se fit également des amis avec qui elle traînait de temps à autre. Puis, on lui parla d’un job de mannequin, au début elle avait tout bonnement rit. Ses amis l’avaient poussés à postuler, passer un casting pour une pub de shampooing. Elle se laissa tenter par l’aventure, mais ne fut pas retenue. Elle avait pris goût au casting en un déclic, on lui trouvait un genre bien à elle, On lui trouvait également un charme, elle était photogénique. Elle passa alors d’autres castings, cette fois-ci, mieux préparées. Elle fut retenue pour un pub de vêtements. Aussitôt les fins de mois étaient plus larges, elle décrocha à la suite plusieurs petits castings pour diverses pubs et photos. Avec l’argent économisé, elle avait pu également se faire un book, de quoi être plus professionnel. Elle consacra alors la moitié de son temps au mannequinat et l’autre au ménage. Emily avait un esprit ouvert, elle défendait ardument le droit des femmes, pour que l’égalité hommes femmes soient reconnus de tous. Quand on lui proposa de poser nue, elle ne voyait absolument pas l’inconvénient. Elle s’ouvrait alors d’autres portes, elle s’assumait complétement, et n’avait aucun problème avec son corps. A plusieurs reprises elle avait eu des offres douteuses, qu’elle refusa se méfiant des intentions de ses employeurs. A force de persévérer et de toquer à plusieurs portes, tous les jours, son visage sortit du lot, elle décrocha de plus gros contrats, pas de quoi devenir une star hollywoodien, mais assez pour pouvoir déménager dans un appartement plus grand, au dernier étage. Assez pour pouvoir vivre du mannequinat décemment, assez pour pouvoir manger autre chose que des pâtes à chaque repas et fumer plus d’une cigarette tous les deux jours. Elle avait pris totalement goût au mannequinat. Elle qui avait été éloigné de tout ce monde si vaste, la voilà plongé dans tout ce que ses parents détestaient. Au début, Emily n’y avait pas tellement cru qu’on la choisirait plutôt elle qu’une autre pour faire mannequin. Seulement, en apprenant à connaitre la société qui l’entoure, elle se rendit bien vite compte de ce qu’elle avait devoir devenir. Une femme forte et qui ne se laisserait pas faire quoi qu’il arrive. Elle ne laissait pas marcher sur les pieds, ni même influencer par de fausses amitiés qui souhaiterais profiter d’elle. Son engagement dans le droit des femmes fût assez mal perçu d’une partie de la société, puisqu’une femme qui pose nue était un réelle problème, c’était une insulte, les gens pensaient que poser nue s’était un irrespect de soi-même, ce à quoi Emily répondait toujours la même chose : un majeur levé, un ongle à peine vernis. Son caractère attirait et dérangeait à la fois, mais jamais elle n’avait changé qui elle était, jamais. Elle était restée celle qu’elle était au fond d’elle, une âme de rockeuse. Elle se fit tatouée ‘ faux-semblants en anglais derrière l’oreille. Vivre sa vie comme elle l’entendait c’était son seul rêve, elle l’avait réalisée et elle comptait bien faire en sorte que le rêve ne s’arrête jamais.
Your Identity
Un caractère qui ne se laisse pas faire, elle ne s’embête pas vraiment avec les détails de la vie. Elle vie juste, ce qu’elle a envie, elle se fiche de dormir dans la rue ou bien qu’on la prenne pour une allumée. Ce qu’elle veut c’est sentir tout au fond d’elle qu’elle est vivante, qu’elle ressent des sentiments qui la font vibrer. Emily a beau être entourée, elle sait qui est ses vrais amis et ne se laisse pas avoir par le strass des paillettes. Elle cache cependant une grande blessure, le rejet de sa famille. Même si elle le cri haut et fort, qu’elle se fout de tout et de l’avis des autres, elle reste quelqu’un d’empathique. Elle ne supporte pas qu’on s’en prenne au plus faible, elle est si têtue et bornée qu’on se demanderait parfois si elle sait lâcher prise. C’est quelqu’un d’obstiné, qui ne s’arrêtera qu’une fois qu’elle aura eu ce qu’elle veut. Si elle baisse les bras, c’est que finalement, ce qu’elle convoitait n’était pas si intéressant qu’en apparence. Elle est une grande fêtarde sans pour autant vouloir se mettre minable à chaque fois, elle garde les pieds sur terre mais la tête dans les étoiles. Avec elle, ça passe ou ça casse, c’était d’ailleurs l’un de ses plus grand défaut mais aussi, une grande qualité. Elle est direct, par moment, il n’y aucun filtre entre ce qu’elle pense et ce qu’elle dit ce qui peut s’avérer très gênant lorsqu’elle cherche un travail ou à le garder. Elle aime qu’on lui tienne tête, pour elle ça prouve qu’on ne se plie pas aux règles et qu’on ne cherche pas forcément à se faire apprécier des autres. Elle adore le rock, c’est un genre de musique qu’elle pourrait écouter nuit et jour. Mal grès toutes les insultes auquel elle a eu le droit durant sa carrière, ça ne l’a jamais empêché de continuer de faire ce qu’elle voulait.
Behind The Computer
| ✤ pseudo : ici ✤ âge : i22 ans ✤ votre présence sur le forum : h24? je dirais 4/7j en moyenne ✤ pourquoi ce personnage : l'avatar, sérieusement, est-ce que j'ai besoin d'en dire plus ? elle à du charme, elle est super belle. Je lui ai donné une vie de fou ! ✤ votre avis sur le forum : j'aime bien, c'est simple, clair, et puis y a de sacrés bons gens ici ✤ comment avez vous connu le forum : de bouche à oreille ✤ code du règlement : - Spoiler:
i want to be famous
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Exemple De RP
- Spoiler:
Ce soir, c’était son soir, celle qui illuminait la nuit, la dame blanche montrait déjà le bout de son nez. Ce soir, elle serait entière, ronde et brillante. Arès commençait déjà ressentir les effets, son corps ne réclamait qu’à se transformer. La meute devait se réunir ce soir pour cet évènement si particulier, Arès arrivait sur les lieux, il n’était pas vêtu entièrement puisque sans tee-shirt, et uniquement un pantalon pour le recouvrir, il devait être au plus efficace. Situé dans une forêt non loin de Rome, il valait mieux s’excentrer pour ne pas éveiller les plus curieux. Pour ceux qui n’étaient pas encore habitué à leur transformation, Arès devait s’assurer que les jeunes loups devaient arriver à leur transformation complète. Quand elle commença son œuvre, Arès se laissa envahir par le loup, ne luttant pas le moins du monde. Il se transforma pas à pas, son corps de distordant dans tous les sens, des cris de rage et de douleurs qui lui étaient familiers. Les jeunes loups eux, mettaient beaucoup de temps à se transformer. Le pelage blanc dont était recouvert Arès brillait, les reflets que lui accordait la lune renvoyaient une image de loup céleste. Aussitôt il prit le contrôle, sous sa forme hybride, et aveuglé, Arès parcourra les bois. Ses sens si éveillés, cette malédiction dont il était victime, prenait le contrôle de son esprit. Le loup qui sommeillait en lui, ce soir il était totalement libre. Arès se déplaçait en meute, il devait protéger les siens, d’autant plus les jeunes loups qui avaient énormément de mal à se faire à la cécité dont il était pris quand il se transformait. Son instinct de pérennité, et vouloir ainsi conserver les siens prenaient facilement le dessus. Pendant une bonne partie de la nuit, il fallait être attentif au moindre bruit, ce soir, exposé sous leur formes hybrides, leur ennemis seraient de sortis. Il s’éloigna quelques peu de sa meute, voulant s’assurer que personne ici ne courait de danger. Une odeur vint perturber cette tranquillité sur laquelle il comptait ce soir. Un grondement sorti de ses entrailles tendait à prévenir l’intrus, qu’il n’était pas la bienvenue et que son odeur avait déjà alerté l’ulfric qu’il était. Cependant, l’odeur devenait de plus en plus présente. Il grogna, n’appréciant pas la ténacité de celui qui se présentait à lui. Même s’il ne voyait rien, tous ces sens eux, était pleinement perfectionnés pour le repousser et lui rappelait que la meute vinter, même privé d’un sens, était aussi féroce que n’importe quelle meute. Il se place, de façon à attaquer celui qui s’approchait, ses pas le trahissait, il savait exactement où il était, d’où il venait. Il est complétement sur la défensive, même lorsqu’il comprit qu’il s’agissait d’un loup, rien n’était sûr qu’il était un allié, en ces temps incertains, il valait mieux montrer les crocs que tendre la patte.
Dernière édition par Emily Ratajkowski le Ven 23 Fév 2018 - 8:49, édité 5 fois |
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