Par exemple dans le début de ta présentation de l’histoire de Jennifer :

C'est le 12 avril 1979 à Chicago dans l'Illinois, que Jennifer Marie Morrison vit le jour. Son père, David, était enseignant et proviseur de son lycée, quant à mère (quant à sa mère) Judy, qui est professeur de clarinette. Elle a une sœur, Julia Kay, et un frère Daniel, avec qui elle à (a) toujours était (été) très proche.
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Dans ton post.

Cela faisait à peine une semaine que j'étais arrivé (arrivée) à Seattle. Cette ville est vraiment différente de New York. J'avais l'impression d'être chez moi, cette ville n’a (a) quelque chose en plus que les autres villes. Elle me paraissait très familiale. En tout cas, je me plais bien ici. Je me suis plutôt bien intégré (intégrée) dans ce nouveau campus. Cette université est beaucoup plus petite que mon ancien campus à New York. Ce matin, mon réveil sonna à sept heures quinze, je me levais avec difficulté, car je ne suis pas une lève tôt. Je filais directement sous la douche, afin de me réveiller entièrement. Une fois propre et sec (sèche), je retournais dans ma chambre afin de m'habiller, j'enfilais un jean slim noir, un pull beige assez large et une paire de bottines marron. Je me maquillais vite fait, car je remarquais que j'étais en retard. Une fois prête je partis de mon appartement tout en me dépêchant, car sinon j'allais louper mon bus. Je m’essayais (m’asseyais) au fond du bus tout en écoutant de la musique sur mon mp3. Une fois arrivée au campus, je me dépêchais d'aller à mon casier afin d'y déposer mes cours. Puis j'allais à mon cours de mathématiques, de littérature et de photographie. La mâtiner (matinée) passa plutôt vite. Il était déjà onze heures vingt et mes cours de la mâtiner (matinée) était déjà toute (tous) fini(s). Je retournais à mon casier afin de prendre mes cours du midi. Puis-je marchais dans les couloirs tout en regardant les messages que j'avais sur mon portable. Sans le vouloir, je percutai quelqu'un et je fis tomber mon portable au sol. Sur le coup, je ne vis pas la personne, mais je m'excusais tout en ramassant mon portable.

Désolé, je ne t'avais pas vu. Tu n'as rien ?