La plupart des célébrités commencent au bas de l'échelle et tentent elles-mêmes de se frayer un chemin jusqu'au sommet. Ce n'est pas mon cas. J'aimerais bien dire qu'au départ, je n'étais qu'une inconnue et qu'à force d'accumuler les apparitions au grand écran, j'ai gagné ma popularité, mais ce serait mentir. En effet, je fais partie de ceux qui ont des parents célèbres, et qui par conséquent, font partie du monde de la gloire et des paillettes depuis leur plus jeune âge. Je suis née le dix-huit mars 1989 en Angleterre. Fille du célèbre musicien Phil Collins et sa femme de l'époque, Jill Travelman, la présidente du Beverly Hills Women's Club, je possède bon nombre de demi-frères et demi-soeurs. Cependant, je n'ai jamais été très proche de Joely, Simon, Nicholas et Matthew, comme j'étais très jeune lorsque mes parents ont divorcés et que j'ai choisis d'aller vivre à Los Angeles avec ma mère. Je ne le savais pas encore, mais c'était la bonne décision à prendre, puisque cela allait me permettre de passer mon enfance sans la constante pression des médias, même si il était trop tard pour tenter de me soustraite aux caméras, ayant commencé ma carrière à l'âge de deux ans seulement. En effet, à cet âge, j'avais fais quelques apparitions dans la série britannique Growing Pains. Suite au tournage de cette série, cependant, ma mère a mis ma carrière en pause à fin que je puisse non seulement profiter de ma jeunesse comme tout enfant normal, mais aussi pour que je puisse avoir la chance d'entreprendre les études de mon choix. Durant mon adolescence, mes passions autres que le théâtre ont commencé à se définir, alors que j'écrivais des articles pour Elle Girl, Seventeen, Teen Vogue ou encore Los Angeles Times. Après avoir gradué du Harvard-Westlake school, j'ai donc entrepris d'étudier le journalisme à l'université de Californie du Sud. Entre temps, j'ai également commencé à refaire surface dans le monde des médias. À dix-huit ans, par exemple, j'ai participé au Bal des débutantes à l'hôtel de Crillon, à Paris, ayant été choisit par Chanel pour y porter une de leurs robes. À dix-neuf ans, je recommençais le mannequinat, allant même jusqu'à me faire nommer mannequin international de l'année par le magazine espagnole Glamour. Cependant, c'est seulement en 2009, soit à l'âge de vingt ans, que j'ai repris ma carrière au cinéma, participant tout d'abord à deux épisodes de la série 90210 (en tant que Phoebe Abrams), puis obtenant le rôle de Collins Tuohy dans le drame The Blind Side, aux côtés de Sandra Bullock. C'était plutôt étrange d'être de retour devant la caméra après toutes ces années à vivre comme une étudiante normale, mais cela ne m'a pas déplut pour autant. Le journalisme était ma passion, mais le théâtre l'était également. J'ai donc poursuivis avec le film Priest en 2011, dans lequel j'interprétais la jeune Lucy Pace. Cette même année, j'ai aussi fait une apparition dans le film Abduction (Identités Secrètes) dans le rôle de Karen Murphy, aux côtés de Taylor Lautner. Je suis d'ailleurs sortie quelques temps avec l'acteur, rien de bien sérieux. Ma relation précédente avec Riley Harper ne l'avait pas été davantage, puisque le divorce de mes parents m'avait trop affectée pour que j'éprouve le désir de m'engager réellement. Je ne dis pas que je n'ai pas aimé Riley et Taylor sincèrement, seulement, ce n'était pas de cet amour puissant, qui n'arrive qu'une fois et qui détruit tout sur son passage. J'étais bien avec eux, je n'avais pas peur de me perdre dans des sentiments trop profonds et ça me suffisait. Quoi qu'il en soit, l'année suivante, soit en 2012, j'ai joué Blanche-Neige dans le film de ce même titre. Par la suite, j'ai obtenu le rôle principal dans le film d'horreur Evil Dead, mais j'ai abandonné ce rôle, décrétant que mon emploie du temps était trop chargé. Je ne mentais pas, car en 2012 également, je devais interpréter Samantha Borgens dans Stuck in Love. En 2013, j'ai fais une apparition dans le film The English Teacher, en tant qu'Halle Anderson. Cette même année, je suis tombée sur le rôle clé de ma carrière, celui de Clary Fray dans The Mortal Instruments : La cité des ténèbres, film adapté du roman de Cassandra Clare. C'est sur le plateau de tournage que j'ai fais la connaissance de Jamie Campbell Bower, qui fut à la fois la pire et la meilleure rencontre que je fis au cours de ma carrière. Pour la première fois, j'ai vécu ces sentiments brutes et incontrôlables qui n'avaient été, jusque là, qu'un mythe. Nous nous sommes fréquentés pendant un peu plus d'un an, et c'est cette relation mouvementée qui m'a laissée, pour la première fois, pleine de regrets et d'amertume. Cependant, il s'agit d'une autre histoire. Quoi qu'il en soit, mon rôle dans La cité des ténèbres m'a rapidement projetée au rang des stars les plus suivies par les médias, comme si je ne l'étais pas déjà assez à cause de l'identité de mon père. Cela m'a un peu effrayée, mais j'ai décidé de continuer le cinéma malgré tout. Néanmoins, je n'avais pas  envie de rester à Los Angeles, où j'avais l'impression d'être à la merci des paparazzis. Je ne voulais pas non plus retourner en Angleterre, pour des raisons plus qu'évidentes. Je suis donc venue m'installer à Astoria. Je connaissais certaines célébrités qui y habitaient, et j'avais entendu de bons commentaires sur l'endroit. J'espérais qu'en y emménageant, je pourrais me débarrasser des paparazzis, de même que de mes vieux démons. Évidemment, j'avais tort. Mais il était trop tard pour reculer, et de toute façon, j'avais la vague impression que peu importe l'endroit où je me trouvais, la situation serait la même.

Je ne peux pas blâmer ceux qui disent que j'ai un caractère difficile à saisir. Je ne suis pas complètement ceci, pas complètement cela. Je suis faite de demi-teintes et de contradictions. Par exemple, je ne suis pas timide le moins du monde, mais je suis néanmoins réservée. Je suis très franche et directe, mais je déteste qu'on se mêle trop de mes affaires. J'adore découvrir les autres, mais je ne vais pas toujours vers eux et parfois, je finis par me lasser. Je suis ambitieuse et passionnée lorsque quelque chose m'intéresse, mais aussi très sélective en ce qui concerne mes centres d'intérêts. Je suis indécise et impulsive à la fois. Je n'hésites pas à aimer et à me laisser aimer, mais lorsque ça devient trop intense, je prends peur et je me dérobe lâchement. Je suis chaleureuse et compréhensive, parfois froide et cynique. Je connais les mots qui blessent, je connais les mots qui sont comme un baume au cœur. Il y a certaines choses dont je suis absolument certaine, cependant, ; je suis très entêtée et rancunière, je ne change pas d'avis facilement et je n'oublie jamais. J'ai le rire facile, le sourire tout autant. Je suis une pile électrique, enfantine et enjouée. Je suis lunatique, je vis dans mon monde ou les pensées affluent trop vites pour que je les comprennes.  J'observe trop et je m'attache rapidement. J'ai également la certitude que lorsque je me donne entièrement à une personne, je suis douce, vulnérable et incroyablement humaine.

En ce qui concerne mon physique, il faut dire que je n'ai pas une apparence particulièrement marquante. On me reconnait comme une petite brune aux grands yeux vifs et au sourire espiègle. Je ne suis pas la mode, je m'habille selon mon humeur. Ce n'est pas toujours très glamour, il va s'en dire, et ma styliste commence à désespérer. Bien entendu, j'accepte les vêtements de marques et le surplus de maquillages dans les soirées et évènement, mais je ne vois pas pourquoi je mettrais des vêtements hors de prix pour aller au starbucks.

✤ pseudo : soft parade. ✤ âge : 18. ✤ votre présence sur le forum : 6/7, mais j'imagine que ça va dépendre. ✤ pourquoi ce personnage : lily m'inspire énormément et j'ai plein d'idées pour elle, j'ai donc sauté sur l'occasion lorsque j'ai vu qu'elle n'était pas prise. ✤ votre avis sur le forum : j'aime beaucoup la simplicité du design, puis il m'a l'air très actif côté rp. ✤ comment avez vous connu le forum : par luke. ✤ code du règlement : Spoiler:

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