Je n’étais sans doute pas destinée à devenir la femme que je suis aujourd’hui, et je puis vous l’assurer. Née un sept octobre de l’an 1986 dans la ville de Dallas, au Texas, je suis issue d’une « famille médicale ». En effet, mes parents travaillent dans le domaine de la médecine ; j’étais ainsi vouée à suivre le même parcours qu’eux, le supposais-je jadis. Malgré tout, je me passionne pour le cinéma et la comédie dès mon plus jeune âge, et commence vers six ans à prendre des cours pour me détendre, pour m’amuser ; j’aimais beaucoup le théâtre, si bien que j’allais dans des camps de vacances uniquement pour davantage pratiquer l’art de Molière et de Corneille ; et j’en passais des grands noms, j’en passais.

Toutefois, je décide de me concentrer davantage sur mon cursus scolaire plutôt que sur ma passion pour ces arts. J’intègre ainsi la Hockaday School, une école privée pour filles située à Dallas. Je me spécialise par la suite en biologie moléculaire à l’UCLA (University of California, Los Angeles) et sort major de ma promotion ; une grande fierté pour ma famille et pour moi-même. Je passe ensuite trois ans et demie en formation pré-médicale dans le but de devenir chirurgienne cardiothoracique, avant de retrouver ma passion pour la comédie et le cinéma. J’abandonne alors la médecine pour devenir actrice, et me trouve un agent artistique qui me permettra d’obtenir mon premier grand rôle : celui de Bronwyn dans la série 12 Miles of Bad Road. Malheureusement, cette première expérience m’apprend à quel point le métier d’actrice n’est pas l’un des plus faciles puisque la série sera annulée après seulement six épisodes.

Mais n’ayez craintes. Je n’abandonne pas à mon premier échec et m’accroche durement à mon rêve de devenir une grande actrice. Un an après l’obtention de mon premier grand rôle, qui fut un échec suite à l’annulation de la série, je passe le casting pour interpréter Emily Locke lorsqu’elle avait quinze ans dans la série Lost : Les Disparus en 2008. Finalement, ma carrière finit enfin par un peu décoller grâce à ce rôle et me permet de jouer Skylar dans American Girls 5 ou encore d’intégrer Les Experts, Cold Case : Affaires classées, Weeds et même Esprits criminels et Community entre 2008 et 2010. Bien que je n’avais pas forcément de grands rôles, je commence peu à peu à être reconnue en tant que célébrité.

Je pense néanmoins que le rôle qui m’aura permis une plus grande ascension dans ce monde fait de strass, de paillettes et de faux-semblants est bel et bien celui de Lydia Martin dans la série fantastique qu’est Teen Wolf. J’interprète alors le rôle de la populaire petite-amie du capitaine de l’équipe de crosse, Jackson Whittemore (alors interprété par Colton Haynes) qui devient, au fil du temps, la meilleure amie d’Allison Argent (Crystal Reed), une puissante Banshee, une membre à part entière de la meute de Scott McCall (Tyler Posey) et surtout la petite-amie du sarcastique Stiles Stilinski (joué par Dylan O’Brien). Ce personnage que j’ai pu jouer entre 2011 et 2017 me fait grimper les échelons de la célébrité. Grâce à mon succès, j’incarne le personnage de Zoe Woods dans la saison trois de Channel Zero.

Ma carrière n’est sans doute pas la plus impressionnante et la plus glorieuse, mais je suis fière d’être arrivée jusqu’ici professionnellement parlant. Evidemment, j’ai pu rencontrer des personnes incroyables tout au long. Je pense notamment à Ian Bohen, avec qui j’ai eu une relation amoureuse de février 2013 à avril 2014, mais aussi à Max Carver, avec qui je suis sortie cette fois-ci pendant deux ans de 2014 à 2016. Ou encore à Crystal Reed qui est, sans aucune hésitations, l’une de mes meilleures rencontres sur le tournage de Teen Wolf.

J’habitais Los Angeles. Oui, c’est vrai, comme beaucoup de célébrités américaines en réalité. Mais allez savoir pourquoi, j’ai décidé de venir vivre à Astoria. Pourquoi ? Pourquoi ai-je quitté Venice Beach ou encore Downtown, et même Beverly Hills, Hollywood, pour... Astoria ? Eh bien, ne soyez pas déçus de ma réponse, mais Astoria est devenue une ville très tendance aux Etats-Unis, et... comment vous expliquer la raison de mon départ de Los Angeles pour Astoria ? Que pourrais-je bien vous dire ? C’est une ville devenue très tendance, et je dois vous avouer que le départ de nombreuses célébrités vers Astoria a grandement influencé mon choix. Des paparazzis n’arrêtaient pas de fusiller ma demeure à Los Angeles de diverses photographies, et vivre dans cette ville superbe, faire partie de ce monde d’angelins, c’était devenu une pression à longueur de journées. J’ai vu en Astoria la possibilité de respirer, de récupérer un peu de ce stresse imposé par la presse. Peut-être que ma décision n’est pas raisonnable ou ne justifie pas un tel déménagement, mais allez subir cela, et je puis vous assurer que vous n’aurez qu’une envie, et c’est partir le plus vite possible.

« De quoi j’ai l’air ? » ou encore « A quoi je ressemble aujourd’hui ? » sont des questions auxquelles les réponses peuvent être multiples et variées. Me décrire physiquement est un exercice que je trouve compliqué. Pourquoi ? Parce qu’on ne peut pas avoir un point de vue neutre lorsque l’on décrit quelqu’un, et, à proprement parlé, c’est plutôt dur d’être neutre dans ce qu’on dit. Par exemple, si une personne venait à me trouver moche, il ne me décrirait la plupart du temps qu’avec des adjectifs péjoratifs ; à l’inverse, quelqu’un qui me trouve belle emploiera davantage d’adjectifs mélioratifs que péjoratifs, ne pensez-vous pas ?

Toutefois, je vais tenter d’appliquer ce dur exercice qu’est la description physique. Je fais un mètre soixante et j’ai de longs cheveux blond vénitien, parfois bouclés, parfois lissés, tout dépend de beaucoup de choses, même s’ils penchent naturellement vers l’état lisse qu’ondulé. Enfin bref, j’ai également de grands yeux vert foncé et une peau plus ou moins claire ; je ne possède ni un teint de porcelaine ni même halé. Oh, j’ai aussi des lèvres pulpeuses et depuis l’apparition de Madelaine Petsch dans la série Riverdale, certains disent que nous nous ressemblons énormément. C’est sûrement vrai ; elle est jolie, alors je suppose que je le suis également. Enfin, tout ça pour dire que je sais que je ne suis pas foncièrement laide. Je suis même plutôt belle, avec de bons atouts, mais rassurez-vous, je ne les utilise pas pour obtenir des privilèges. Je ne suis pas ce genre de personnes, voyons.

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« To be, or not to be : that is the question » nous disait ce fabuleux dramaturge qu’était William Shakespeare dans Hamlet ; Hamlet lui-même se posait cette question. Une réplique culte que beaucoup d’entre vous doivent connaître, je suppose. La plupart du temps, Shakespeare est un auteur que l’on étudie pour plus de culture générale. Enfin, ce genre de choses quoi. Etant plutôt passionnée d’arts en règle générale, j’aime énormément les œuvres écrites de Shakespeare.

Enfin, passons. Vous ne me connaissez pas encore et vous n’avez qu’une hâte, c’est d’en apprendre davantage sur qui je suis ? Alors vous êtes au bon endroit, mes chers. Je pense que je vais devenir animatrice dans une émission télévisée ; j’aime bien faire ça. Ouais, c’est amusant. Enfin, bref. J’ai l’impression de vous dire souvent des « enfin », non ? Non ?

Passons, passons, passons (pour bien répéter les choses, nous allons passer à autre chose, mais une chose plus délicieuse qu’une autre ; une chose davantage somptueuse que sublime ; une chose plus grandiose que surprenante ; et une chose que je ne vous décris pas puisqu’elle n’existe pas et que j’essaie simplement de vous faire perdre du temps, haha. Nooon, je plaisante, revenez !).

Je vais commencer par mes défauts plutôt que par mes qualités. Pourquoi ? me demandez-vous. Eh bien, eh bien. Je ne dirais pas que je suis remplie de défauts en tout genre, d’accord, mais c’est plus glorifiant de terminer sur une bonne note, voyez-vous. Mes défauts sont nombreux, mes défauts sont visibles ou ne le sont pas, mais mes défauts sont présents ; comme bon nombre d’êtres humains. Enfin (elle recommence avec son enfin !) normalement. Oui, normalement puisque, autant, nous sommes dans un monde peuplé de robots humanoïdes qui peuvent agir exactement comme des humains ? ...OH ! Le complot. Vous l’avez vu, et vous le sentez, mais je peux me montrer très bavarde. Aux premières nouvelles, ce trait de caractère est souvent associé aux défauts, alors j’ai décidé de le placer juste là, comme ça, après vous avoir déballé un flot de paroles inutiles et complètement stupides. Je suis également une personne émotive, je dois vous l’avouer, mais ce n’est pas bien grave, j’ai le droit de l’être, non ? Je suis en tout cas méfiante et je peux me montrer parfois trop jalouse. Oui, ça m’arrive aussi, mais vous m’aviez demandé de me décrire psychologiquement parlant, alors c’est ce que je fais. Vous n’êtes pas contents, eh bien... je peux m’arrêter là si vous voulez ? Non ? Bon, d’accord. J’associe ma jalousie d’une possessivité sans faille à la perfection. Souvent, ces deux traits de caractère vont ensemble, mais ne me demandez pas pourquoi. Je peux me montrer jalouse et possessive, ou simplement jalouse, ou juste possessive, ou peut-être même les deux en même temps. C’est bien ; je le vis bien en tout cas. Bon, ce n’est pas que je n’aime pas donner des défauts sur moi, mais je vais vous en dire un dernier : je sais me montrer susceptible. Après, je suis humaine, alors des défauts, vous pouvez en trouver des tonnes, et puis, tout n’est que subjectif ; je le vois de mon point de vue. Qui sait ? Vous me trouverez peut-être ennuyante, ou orgueilleuse ? Je n’en sais rien.

Passons sur mes qualités. Ah, ce que j’aime mes qualités ! je suis naturellement aimante et attentionnée, sans oublier que je suis autant ambitieuse que déterminée et je suis même intelligente. Oui, je suis intelligente ; allez donc faire des études en médecine comme je l’ai fait, et sortez major de votre promotion, et ensuite et seulement vous pourrez oser me dire que je suis bête. La médecine, c’est compliqué quoique vous puissiez penser. Je suis quelqu’un de vraiment persévérant et de studieux (bonjour mes années en médecine !), sans oublier que je suis ouverte d’esprit. Et, allez savoir si cela est un défaut ou une qualité (ce peut être un peu les deux pour certains), mais je me sais romantique à mes heures perdues, tout en étant un véritable petit bisounours (bonjour la miss tendre !) avec ceux que j’aime. Et pour terminer, je suis digne de confiance parce que je suis moi, et je suis comme ça, je suis juste aimante et chaleureuse. Oui, on peut l’être tout en étant méfiant. Regardez, je le suis bien. Là encore, ce n’est qu’un profil psychologie dressé avec mon point de vue ; peut-être me trouverez-vous émouvante ou enthousiaste, je ne sais guère, je suis pas vous. Mais je serais ravie de le savoir. N’oubliez pas : je suis ouverte d’esprit (et n’allez pas dire le contraire, s’il vous plaît mes chers !).

Je pense en avoir terminé, mais ce n’est qu’une simple pensée. Je pourrais bien entendu vous faire l’éloge de mes talents de... aheum. Je m’arrête là, excusez-moi...

✤ pseudo : avery. ✤ âge : en pleine jeunesse. ✤ votre présence sur le forum : j'essaie d'être présente de façon régulière. ✤ pourquoi ce personnage : Holland Roden est une actrice que j'ai beaucoup aimé, et puis, elle n'est pas souvent disponible sur les autres forums, alors lorsque j'ai vu qu'elle l'était ici, j'ai sauté sur l'occasion. ✤ votre avis sur le forum : le forum m'a l'air plutôt pas mal, le design est beau, et le contexte intéressant. ✤ comment avez vous connu le forum : en divaguant sur internet à la recherche d'un forum plaisant. ✤ code du règlement : Spoiler:

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