| Sujet: I have a bad feeling about this | Hayden Christensen Ven 29 Jan 2021 - 21:56 | |
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Hayden Christensen
Ϟ âge : 39 ans Ϟ date et lieu de naissance : né le 19 avril 1981 à Vancouver Ϟ statut : divorcé Ϟ métier : acteur et producteur Ϟ groupe : true color
Your Story
C’est dans la grande ville de Vancouver qu’Hayden poussa son premier cri, un beau jour d’avril 1981, le 19 pour être exact. Il est loin d’être le premier enfant d’Alie et David. En effet, deux enfants le précèdent (Tove et Hejsa) et il sera plus tard suivi par Kaylen. Deux garçons, deux filles, quoi de mieux pour la famille Christensen ? Hayden vit une enfance tout à fait normale, entourés d’une famille aimante. Oh, bien sûr, il y a de la chamaillerie entre frères et sœurs, comme partout, mais rien de bien méchant. Il est sportif à l’école, il adore ça même ! Il en pratique plusieurs d’ailleurs, mais c’est surtout au lycée qu’il va se spécialiser en pratiquant au niveau provincial le tennis et le hockey.
Cependant…N’avançons pas trop vite. Avant le lycée, la vie d’Hayden a pris un tout autre tournant à ses douze ans. Il décroche son tout premier rôle, certes secondaire, mais cela n’empêche pas le jeune garçon d’en être très fier. Il fut repéré lorsqu’il avait accompagné sa grande sœur dans sa recherche d’agent après qu’elle a tourné dans une publicité. Hayden veut être acteur, il en est sûr. Passant tous ses étés à Long Island chez sa grand-mère, il en profite donc pour suivre des cours d’Art Dramatique à l’Actors Studio de New York. C’est sûrement sa première expérience qu’il l’a poussé par la suite à suivre ce genre d’étude et il était déterminé à réussir.
De 1995 à 1999, il enchaîne les rôles dans divers films et séries. On peut le voir par exemple dans Virgin Suicide de Sofia Coppola. Sa notoriété s’accroît lorsqu’il prend le rôle de Scott Barringer dans la série canado-américaine, Cœurs Rebelles en 2000. Il sera cependant acclamé par la critique en 2001 pour son rôle dans La Maison sur l’Océan, mais aussi pour sa performance dans le biopic Le Mystificateur. Peter Travers écrira dans Rolling Stones : « Hayden Christensen est sensationnel dans le rôle de Glass, trouvant le juste-milieu entre l'enfant prodige et le gamin perturbé volant sur une renommée de haut vol qu'il n'a pas gagnée. » Hayden passera également par la case théâtre, dont Broadway, mais c’est dans le cinéma qu’il fera surtout son petit bonhomme de chemin.
Avec tous ces succès, Hayden semble avoir une carrière toute tracée. Son prochain projet allait le confirmer et surtout la concrétiser. Il est choisi parmi 1500 candidats pour interpréter Anakin Skywalker dans le volet 2 et 3 de la saga Star Wars. George Lucas dira que son choix s’est porté sur le jeune Hayden parce qu’il « avait besoin d'un acteur qui possède la présence du côté obscur » Si ce rôle faisait d’Hayden un personnage connu du grand public, sa performance divisera clairement la critique. Même si beaucoup ont apprécié sa performance, et pour preuve, il recevra entre autres et parmi d’autres nominations le Trophée Chopard de la révélation masculine en 2002 au Festival de Cannes, d’autres n’hésiteront pas à lui casser du sucre sur le dos et de façon plutôt virulente. Ce virage dans les critiques n’annonce rien de bon, puisqu’il marque le début du déclin de la carrière d’Hayden.
Entre 2006 et 2009, il enchaîne les échecs commerciaux avec des films tels que Awake ou la franchise Jumper. La critique sera de plus en plus virulente à son égard avec ces échecs à répétitions, mais Hayden ne part pas totalement perdant puisqu’il rencontre sa future femme, Rachel Bilson, sur le tournage de Jumper. Ils resteront ensemble pendant dix ans, de 2007 à 2017, et accueilleront la petite Briar Rose en 2014. A partir de 2010, Hayden se fera plus discret à Hollywood, s’intéressant à des productions plus modestes et à des petits rôles, tout en continuant de se prendre un flot de critiques. Il passera même derrière la caméra en 2013, en devenant producteur avec la création de la société Glacier Films avec son frère Tove.
Malgré cette moitié de carrière catastrophique, Disney annonce son retour dans la franchise Star Wars avec la série Star Wars: Obi-Wan Kenobi, lors d’une conférence en 2020. Les fans de la saga ont accueilli ce retour avec joie comme Hayden est quand même plus apprécié que détesté pour son rôle d’Anakin.
Aujourd’hui, Hayden se tient bien à l’écart des médias, du cinéma et de tout ce qui s’en suit. Il vit en toute discrétion dans une ferme. Il aspire à une vie plus paisible, plus tranquille. Il occupe principalement son temps entre sa ferme et sa fille et cette nouvelle série qui se profile. Peut-être annoncera-t-elle un nouveau rebond dans la carrière d’Hayden ?
Your Identity
Hayden est grand, mesurant 1 mètre 85. Même si pendant des années il s’est laissé aller, il s’est remis à faire du sport depuis un petit moment et il recommence à retrouver sa silhouette athlétique. Il redouble doublement d’effort depuis qu’il sait qu’il rempile pour son rôle d’Anakin, rôle qui demande pas mal d’effort physique. Il fait très attention à son alimentation pour ne pas mettre à mal tout cet entraînement et essaie de manger local surtout. Il est connu pour avoir de jolis yeux bleus et pour sa blondeur qui peut parfois virer au châtain, traits qui sont sûrement un héritage de ses origines danoise du côté de son père et des origines suédoises du côté de sa mère (elle a également des origines italiennes.)
Même si Hayden est quelqu’un de plutôt avenant, il n’en reste pas moins timide. Au départ, il peut paraître difficile à aborder parce qu’il garde une certaine distance, par peur d’être jugé, de déranger ou de ne pas savoir quoi dire, mais dès qu’il se sent à l’aise avec la personne, il devient tout de suite plus ouvert et favorable à la conversation. Comme il s’est isolé depuis des années à la campagne, ce trait de caractère ne s’est pas vraiment arrangé, mais il reste malgré tout poli avec les gens qui l’abordent. Hayden est quelqu’un de doux et a un caractère plutôt tempéré. Il n’est pas du genre à se mettre dans les conflits inutilement ou à exploser de colère pour un rien. Il va plutôt être diplomate et essayer de chercher des solutions ou de discuter calmement avant de s’emballer pour pas grand chose. Il a un tempérament anxieux, mais il sait le contrôler pour ne pas en faire pâtir les autres. C’est une personne qui a beaucoup d’humour et qui pratique sans mal l’autodérision. Il lui arrive de faire un peu d’humour noir aussi, mais avec modération. Il se le permet uniquement lorsqu’il connaît très bien la personne, de peur de heurter les sensibilités de chacun, le cas échéant. Hayden est un homme optimiste et à tendance à voir le verre toujours à moitié plein. Il ne se décourage jamais et est en général déterminé dans tout ce qu’il entreprend. Il essaie d’apprendre de ses erreurs et de les relativiser, bien que cela ne soit jamais simple de se remettre en question.
Il est très proche de sa fille, Briar Rose et il la fera toujours passer avant lui et avant tout le monde, même avant une relation. Elle est son monde et celle qui l’aide à avoir une certaine stabilité. C’est un vrai papa poule avec elle. Il la couvre de cadeaux, tout en restant raisonnable pour ne pas faire d’elle une enfant pourrie gâtée et capricieuse. Même si quelques photos ont fuité, Rachel et lui se sont mis d’accord pour préserver l’anonymat de leur fille et n’hésitent pas à attaquer tout tabloïd qui diffuse des photos d’elle. Hayden sait à quel point les gens peuvent être méchants et violents dans leurs propos, et il ne veut pas que sa fille soit la victime de ses personnes ou des enfants de ses personnes. Il est très protecteur de manière générale, pas seulement avec elle. Il peut se montrer possessif sans que cela soit toxique et jaloux, mais sans être trop envahissant.
Behind The Computer
| ✤ pseudo : Apo ✤ âge : 24 ans ✤ votre présence sur le forum : Régulièrement ✤ pourquoi ce personnage : Je suis littérallement tombée amoureuse d'Hayden en regardant l'Attaque des Clones ✤ votre avis sur le forum : J'aime la simplicité du forum, sans prise de tête ! Et les quelques personnes auxquelles j'ai parlées m'ont l'air sympathiques. ✤ comment avez vous connu le forum : Sur root-top ✤ code du règlement : - Spoiler:
I want to be famous
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Exemple De RP
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RP sur un autre forum - Je viens de perdre mon fils, vous croyez vraiment que j’ai envie de parler à une journaliste ? Dégager, et ne revenez plus.J’avais claqué la porte au nez de cette journaliste, toi, juste après ça. On pouvait dire que les choses étaient très mal parties au départ entre nous deux. La colère que je ressentais suite au décès de Timothy me rongeait. Elle était injuste, inutile. Je n’avais jamais compris cet élan patriotique qu’il avait eu, en plein milieu de ses études de physique qu’il réussissait avec brio. Je savais que les attentats du 11 septembre l’avaient remué, mais je ne pensais pas que c’était à ce point-là. J’avais toujours pensé, et même encore aujourd’hui sans m’en cacher, que les troupes américaines n’avaient rien à faire en Afghanistan. Même en étant plus jeune, j’avais toujours été antimilitariste et surtout contre l’intervention des États-Unis dans des conflits dont il était étranger et dans lesquels ils s’enliseraient inévitablement. Parfois, j’avais même cette pensée horrible où je me disais que j’aurais préféré que Timothy meure d’une maladie, comme sa mère, parce que plus aléatoire qu’une guerre qui nous propulse directement et inévitablement vers la mort. Je regrettais toujours cette pensée, mais il lui arrivait de refaire surface de temps en temps. C’était donc ça que j’avais ruminé tous les jours, sans cesse, et qui m’enfermait un peu plus dans ma déprime. En 2008, je travaillais encore, mais je n’étais pas franchement très efficace. Puis, contre tout attente, tu étais revenue, plusieurs fois, tu insistais pour ne pas me laisser seul, parce que tu avais connu Timothy et que vous vous étiez tous les deux liés d’amitié. « T’es vraiment têtue toi, c’est pas possible. On dirait moi, au même âge, et crois-moi, c’est loin d’être un compliment ! » Avec le temps, j’avais fini par baisser la garde et par te laisser entrer dans mon monde si on peut dire. Il y avait ces conversations interminables sur tout et rien, celles sur Timothy aussi. Juste ces moments à ne rien faire de particulier, des repas partagés entre amis et plus les années passaient, plus je voyais que cette relation était bien plus qu’une amitié. Une véritable relation père-fille s’était tissée, une relation qui me faisait beaucoup de bien, je devais l’avouer. Un jour, j’avais même reconnu à haute voix, auprès de toi : « Tu es la fille qu’on aurait toujours rêvé d’avoir, Erika et moi. » Je n’étais pas le genre d’homme à cacher ses émotions, quand j’avais quelque chose à dire, je le disais. Je n’étais pas le dernier pour donner une accolade ou un geste tendre quand ça allait mal. J’avais toujours été quelqu’un de très empathique. Il valait mieux, vu le métier que j’avais fait toute ma vie. Je n’étais jamais serein lorsque tu partais en reportage. À chaque fois que tu m’annonçais ton départ, j’avais cette même angoisse que lorsque Timothy m’annonçait qu’il repartait au front. J’avais toujours cette peur d’apprendre ta mort au détour d’un titre de journal ou à la télé. Puis j’étais soulagé dès que tu faisais ton retour, que tu toquais à ma porte au petit matin pour m’apporter des viennoiseries et qu’on prenne le petit-déjeuner ensemble. Sauf que pour ton dernier reportage, les angoisses que je nourrissais allaient devenir réalité. L’information tournait en boucle sur les chaînes d’actualité le 18 janvier 2018. Trois journalistes se sont fait enlever dans la nuit du 17 au 18. J’avais manqué de m’étrangler lorsque j’avais vu une photo de toi apparaître au côté de tes collègues. « Non, non, non, non…C’est pas possible. C’est pas possible ! » J’avais l’impression de devenir fou, que le malheur s’acharnait sur moi en quelque sorte. Ce qui me rendait malade, c’était de te savoir entre les mains de ces fous furieux. En tant que profileur, et même en tant qu’ancien agent du FBI tout court, j’en avais croisé des types sadiques, fous, dérangés, tortionnaires, qui collectionnaient tous les vices de la Terre. Je savais comment ils fonctionnaient et ça me donnait des sueurs froides. Certes, c’était des terroristes, ils ne pensaient pas comme des tueurs en série, mais ils pouvaient se montrer aussi sadiques et dangereux qu’eux. Avec mon expérience, c’était très difficile pour moi de ne pas penser au pire. J’en avais des insomnies et tournais chez moi comme un lion en cage. Ce qui m’énervait le plus, c’était ce sentiment d’impuissance. Je ne pouvais rien faire mis à part attendre encore et encore et encore… J’avais néanmoins quelques contacts à la CIA, que je n’arrêtais pas de harceler tous les jours pour voir s’ils avaient des informations puisque je savais qu’ils travaillaient souvent conjointement avec l’armée dans ce genre de cas. « Alexander, je ne peux rien te dire. Puis on a aucune info, on n’est pas habilité à intervenir. » - Pas habilité à intervenir ? PAS HABILITE À INTERVENIR ?! Pour aller faire des magouilles en Afghanistan, massacrer des populations, voler le pays, laisser mon fils se faire massacrer pour vos intérêts, là, y a pas de problème, vous êtes habilités pour détruire tout, mais pour sauver des citoyens de ce pays, y a plus personne.Ce jour-là, j’avais hurlé au téléphone, laissant exploser ma colère. J’étais à bout de nerfs. Bien évidemment, on m’avait raccroché au nez, mais au moins j’avais vidé mon sac. Ma belle-fille m’avait engueulé le soir même, car cette crise de colère avait précédé une crise d’angoisse qui m’avait emmené à l’hôpital. J’avais peur de perdre encore une fois une personne à laquelle je tenais. J’étais vraiment au bout du rouleau. Septembre 2020, je pouvais enfin respirer. Deux ans d’angoisse prenaient fin, enfin. J’avais appris ta libération et ton rapatriement, avec joie. Je n’avais qu’une seule hâte, foncer à l’hôpital pour te rendre visite, pour voir que c’était bien vrai, que tu étais là. Je ne venais qu’une semaine plus tard, cependant, pour te laisser respirer, reprendre tes esprits, s’y on peut dire. Lorsque je t’avais revue, je constatais avec tristesse que la fille lumineuse et joyeuse que j’avais connue avait disparu. Pourtant, je savais qu’elle était encore là, au fond de toi et qu’il ne fallait qu’un petit coup de pouce pour la réveiller, tout comme tu l’avais fait pour moi lorsque j’étais au fond du gouffre après la mort de mon fils. Je n’étais pas naïf, je savais que la tâche était ardue et que cela serait dur, mais je n’étais pas du genre à baisser les bras. Novembre 2020. L’hiver commençait à doucement s’installer. C’était une période que je chérissais parce que festive entre mon anniversaire, Thanksgiving (qui approchait d’ailleurs), Noël et le Réveillon du Nouvel An. J’avais l’impression de voir du mieux chez toi, mentalement parlant, mais on était encore loin de la forme totale. Néanmoins, comme promis, je ne lâchais rien. Je venais toujours te voir, tous les jours, soit avant ou après mes cours. Quand je n’avais rien de prévu, il m’arrivait parfois de rester toute la journée avec toi. Aujourd’hui faisait partie d’une de ces journées où je pouvais rester. Connaissant tes difficultés financières en ce moment comme tu étais encore déclarée morte aux yeux de l’État, j’avais été te faire quelques courses avant de passer chez toi. J’arrivais au 2200 Outer Sunset peu avant midi, pour que nous mangions ensemble. Certains diront que je suis trop intrusif, que je t’étouffais, mais c’était plus fort que moi. Il fallait que je m’occupe de toi, que je prenne soin de toi, parce que j’étais reconnaissant de tout ce que tu avais fait pour moi, mais aussi, je faisais exactement ce que j’aurai fait pour ma fille dans ce genre de cas. Par chance, tu m’avais ouvert. Je t’avais dit bonjour en embrassant ta joue, furtivement, car je me dépêchais d’entrer avec tous ces sacs qui m’encombraient pour les poser en cuisine. Je poussais un petit soupir de soulagement en me débarrassant de tous ces poids, mais je ne perdais pas de temps non plus pour sortir les commissions du sac et les ranger. - Comment tu vas aujourd’hui Aly ?Je t’avais jeté brièvement un coup d’œil. Je te le demandais toujours, même si c’était pour que tu me répondes « Mal. » ou une autre réponse du même genre. C’était une façon de te montrer que ton état m’intéressait et que si tu voulais te confier, j’étais là. - Je t’ai fait des courses, comme tu peux le voir. Tu devrais en avoir assez pour deux semaines. Je te prépare quelque chose ? Je n’ai rien de prévu pour aujourd’hui, je peux rester là si tu en as envie.
Dernière édition par Hayden Christensen le Lun 1 Fév 2021 - 16:51, édité 4 fois |
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Adelaide Kane A Astoria depuis : 30/03/2020 Autographes : 4027 Métier : Une actrice qui reprend du service. En promotion pour Greys anatomy
| Sujet: Re: I have a bad feeling about this | Hayden Christensen Ven 29 Jan 2021 - 22:00 | |
| BON. Je suis obligée comme tu énonces l'attaque des clones : - BAAAM :
Est-ce que je le redis que t'as fait un choix de fifou ? BON, ok. C'est passable Bienvenue parmi nous ! |
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